
Alors que la science des mitochondries progresse, MitoAction et MitoCanada travaillent ensemble pour s’assurer que les voix des patients restent au premier plan.
Notre nouvel article, « Comprendre la transplantation mitochondriale : Une nouvelle frontière dans le traitement du dysfonctionnement mitochondrial », présente ce domaine émergent et donne un aperçu des sujets qui ont été explorés lors de la conférence sur la transplantation mitochondriale et les thérapies de nouvelle génération. Transplantation mitochondriale et thérapies de nouvelle génération qui s’est tenue du 20 au 25 avril à Long Island, dans l’État de New York.
MitoAction et MitoCanada s’engagent à veiller à ce que les patients et les soignants soient représentés au fur et à mesure que la recherche progresse. Des représentants des deux organisations ont assisté à la conférence et ont répondu aux questions de la communauté.
Article : Comprendre la transplantation mitochondriale : Une nouvelle frontière dans le traitement de la dysfonction mitochondriale
Depuis une dizaine d’années, les scientifiques ont découvert, grâce à des études in vitro (tubes à essai et boîtes de culture) et in vivo (à l’intérieur d’organismes vivants), que les mitochondries peuvent être transférées d’une cellule à l’autre, d’un tissu à l’autre et d’un animal à l’autre. Les chercheurs espèrent appliquer ces méthodes aux maladies mitochondriales primaires et aux dysfonctionnements mitochondriaux acquis dans des maladies telles que la maladie de Parkinson et la démence, y compris la maladie d’Alzheimer et les maladies cardiovasculaires.
Bien qu’elle soit loin d’être prête pour une utilisation humaine à grande échelle, la transplantation de mitochondries nécessite encore des recherches et des essais importants, mais elle est très prometteuse en tant qu’option thérapeutique viable pour de nombreuses personnes, y compris les patients atteints d’une maladie mitochondriale primaire.